Nos bénévoles

Véronique Gilain

Nous sommes heureux de vous présenter Véronique Gilain, membre de notre Comité consultatif de Québec

Nous sommes heureux de vous présenter Véronique Gilain, membre du Comité consultatif du Québec.

Bien que la plupart des bénévoles de la FCSA soient nés près des cours d’eau où se trouve le saumon atlantique, Véronique Gilain est née dans la République démocratique du Congo. À l’âge de six ans, elle a déménagé avec sa famille à Montréal et depuis les 30 dernières années, elle réside sur la côte Nord.

Mme Gilain est une grande savante, ayant obtenu des diplômes (trois maîtrises) en ingénierie, gestion environnementale, télécommunications et gestion de projets. Elle a lancé sa propre entreprise de gestion de projets en 1998, et peu de temps après avoir déménagé sur la côte Nord, elle a commencé à pêcher le saumon.

« Il y a de nombreuses rivières dans le secteur où j’habite; c’est pourquoi j’ai commencé à pratiquer la pêche au saumon, de dire Mme Gilain. C’est devenu une passion. »

En même temps, ses partenaires professionnels s’adonnaient aussi à la pêche au saumon et participaient aux efforts de protection du saumon; elle a donc fini par prendre part aux efforts pour analyser l’impact socio-économique des projets d’amélioration des rivières. Voilà comment elle est entrée en contact avec la FCSA et en 2019, elle est devenue bénévole au sein du Comité consultatif.

« Plusieurs projets ont été entrepris sur la côte Nord au cours des trois dernières années. Ces projets offraient un bon potentiel pour la protection du saumon atlantique. Lorsque j’analyse des projets du point de vue de l’impact, je suis plus intéressée à ceux qui sont menés à bien dans la rivière qu’à ceux qui visent à fournir de l’information sur la situation du saumon dans les rivières. Les projets d’information et de sensibilisation sont nécessaires, mais à court terme, ils peuvent avoir moins d’impact sur la situation du saumon. »

Un de ces projets consistait à tenter d’accroître la population de saumon dans la rivière Romaine, et il a été entrepris en collaboration avec Hydro Québec avec l’appui de la communauté Innue locale.

« Je trouve ce projet très intéressant parce que tous les participants à la réhabilitation de cette rivière ont indiqué que c’était une priorité. Ils ont pu obtenir du financement de la FCSA et encore plus de financement des partenaires. Ils ont produit de jeunes saumons qui ont été par la suite relâchés dans la rivière. Espérons que ce projet aura un impact très positif sur la population de saumon dans cette rivière. »

Mme Gilain souligne que grâce à la FCSA, de nombreux projets, qui ne se seraient pas concrétisés autrement, sont réalisés. Elle est aussi rassurée de constater combien de projets ont obtenu du financement d’autres sources en plus de la FCSA, ce qui démontre un appui plus général de la communauté pour leurs efforts.

« À mon avis, cela démontre que les promoteurs ont fait ce qu’il fallait pour trouver du financement et faire participer différents organismes aux projets pour qu’ils soient menés à bien. »

Mme Gilain participe au sein de la FCSA surtout depuis la pandémie de la COVID-19. Elle n’a donc pas encore rencontré les autres membres du comité en personne. Mais elle a hâte aux futures réunions en présentiel et elle a beaucoup aimé se renseigner davantage auprès des autres membres du comité via Webcam.

« Les membres de la FCSA représentent bien le territoire couvert au Québec pour le financement. Ensemble, nous connaissons assez bien les rivières et les organismes qui soumettent des propositions. Nous pouvons donc faire une meilleure analyse des soumissions. »

Nous sommes heureux de vous présenter Véronique Gilain, membre du Comité consultatif du Québec.

Bien que la plupart des bénévoles de la FCSA soient nés près des cours d’eau où se trouve le saumon atlantique, Véronique Gilain est née dans la République démocratique du Congo. À l’âge de six ans, elle a déménagé avec sa famille à Montréal et depuis les 30 dernières années, elle réside sur la côte Nord.

Mme Gilain est une grande savante, ayant obtenu des diplômes (trois maîtrises) en ingénierie, gestion environnementale, télécommunications et gestion de projets. Elle a lancé sa propre entreprise de gestion de projets en 1998, et peu de temps après avoir déménagé sur la côte Nord, elle a commencé à pêcher le saumon.

« Il y a de nombreuses rivières dans le secteur où j’habite; c’est pourquoi j’ai commencé à pratiquer la pêche au saumon, de dire Mme Gilain. C’est devenu une passion. »

En même temps, ses partenaires professionnels s’adonnaient aussi à la pêche au saumon et participaient aux efforts de protection du saumon; elle a donc fini par prendre part aux efforts pour analyser l’impact socio-économique des projets d’amélioration des rivières. Voilà comment elle est entrée en contact avec la FCSA et en 2019, elle est devenue bénévole au sein du Comité consultatif.

« Plusieurs projets ont été entrepris sur la côte Nord au cours des trois dernières années. Ces projets offraient un bon potentiel pour la protection du saumon atlantique. Lorsque j’analyse des projets du point de vue de l’impact, je suis plus intéressée à ceux qui sont menés à bien dans la rivière qu’à ceux qui visent à fournir de l’information sur la situation du saumon dans les rivières. Les projets d’information et de sensibilisation sont nécessaires, mais à court terme, ils peuvent avoir moins d’impact sur la situation du saumon. »

Un de ces projets consistait à tenter d’accroître la population de saumon dans la rivière Romaine, et il a été entrepris en collaboration avec Hydro Québec avec l’appui de la communauté Innue locale.

« Je trouve ce projet très intéressant parce que tous les participants à la réhabilitation de cette rivière ont indiqué que c’était une priorité. Ils ont pu obtenir du financement de la FCSA et encore plus de financement des partenaires. Ils ont produit de jeunes saumons qui ont été par la suite relâchés dans la rivière. Espérons que ce projet aura un impact très positif sur la population de saumon dans cette rivière. »

Mme Gilain souligne que grâce à la FCSA, de nombreux projets, qui ne se seraient pas concrétisés autrement, sont réalisés. Elle est aussi rassurée de constater combien de projets ont obtenu du financement d’autres sources en plus de la FCSA, ce qui démontre un appui plus général de la communauté pour leurs efforts.

« À mon avis, cela démontre que les promoteurs ont fait ce qu’il fallait pour trouver du financement et faire participer différents organismes aux projets pour qu’ils soient menés à bien. »

Mme Gilain participe au sein de la FCSA surtout depuis la pandémie de la COVID-19. Elle n’a donc pas encore rencontré les autres membres du comité en personne. Mais elle a hâte aux futures réunions en présentiel et elle a beaucoup aimé se renseigner davantage auprès des autres membres du comité via Webcam.

« Les membres de la FCSA représentent bien le territoire couvert au Québec pour le financement. Ensemble, nous connaissons assez bien les rivières et les organismes qui soumettent des propositions. Nous pouvons donc faire une meilleure analyse des soumissions. »