Nos bénévoles

Todd Kennedy

Nous sommes heureux de vous présenter Todd Kennedy, membre de notre Comité consultatif de Nouveau-Brunswick

Lorsque M. Kennedy a grandi, la pêche a toujours été une partie importante de sa vie. Son père était enseignant et pendant les congés d’été, le père et le fils passaient une bonne partie de leur temps à pêcher dans la rivière Restigouche.

« Notre première maison était située le long de la Restigouche; nous sommes pour ainsi dire nés dans cette rivière », fait remarquer M. Kennedy.

Il est donc très important pour lui non seulement d’emmener ses fils pêcher dans la même rivière, mais aussi d’y travailler. Il est gestionnaire du Club de saumon de la Restigouche, un camp de pêche privé où il a travaillé pendant plusieurs étés lorsqu’il était étudiant.

« Lorsque le gestionnaire précédent m’a demandé si je serais prêt à revenir et à le remplacer lors de son départ à la retraite, la décision de revenir chez moi a été facile à prendre. Nous élevons nos enfants avec leurs grands-parents – mes parents possèdent encore une maison sur la rivière. Je peux voir la rivière lorsque je regarde dans la fenêtre avant. »

Il y a trois ans, on a demandé à M. Kennedy s’il serait intéressé à faire du bénévolat pour la FCSA. Vu son lien personnel et professionnel avec la rivière, cela a été une autre décision facile pour lui.

« J’espère que les stocks de poisson et le réchauffement de la planète ne mettront pas fin à ma carrière près de la rivière Restigouche. Espérons que les résultats que nous avons obtenus avec le financement nous aideront à rétablir les stocks de poisson aux niveaux précédents et à contrecarrer certains effets du réchauffement de la planète. Les rivières semblent se réchauffer de plus en plus. Les travaux effectués sont très importants. »

Ces travaux importants sont effectués par de nombreux petits organismes qui travaillent dans les bassins versants de la région. Ces groupes dépendent du financement de la FCSA pour atteindre leurs buts.

« Dans chaque rivière et chaque tributaire des bassins versants au Nouveau-Brunswick, je pense que n’importe quel petit projet qui peut être mené à bien pour améliorer la situation du saumon atlantique en vaut la peine. »

Il aime beaucoup également créer des liens avec les autres membres du Comité consultatif qui comme lui sont intéressés à améliorer l’avenir du saumon atlantique.

« On apprend à les connaître sur le plan personnel, ce qui est intéressant. Tout le monde est là pour la même raison. Nous nous réunissons une fois par année, bien qu’au cours des deux dernières années, nous n’ayons pas pu le faire en raison de la COVID-19. Je pense quand même que nous passons un bon moment, même sur le Web-chat. Nous aimons passer du temps ensemble. »