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Ottis McInnis

Nous sommes heureux de vous présenter Ottis McInnis, membre de notre Comité consultatif de l’Î.-P.-É.

Nous sommes heureux de vous présenter Ottis McInnis, membre du Comité consultatif de l’Île-du-Prince-Édouard.

Ottis McInnis s’est toujours intéressé au plein air, à la faune et à la pêche. Il a ça dans le sang, comme on dirait – ses parents ont aussi travaillé en pêches commerciales et en aquaculture à l’Île-du-Prince-Édouard.

C’est en occupant un emploi d’été pour le programme des bassins versants de l’Î.-P.-É. que M. McInnis a pris connaissance des travaux effectués par la succursale de Queens-Centre de la Fédération de la faune de l’Î.-P.-É., organisme pour lequel il a  commencé à travailler. Après avoir obtenu son diplôme en technologie de gestion des ressources au Collège Holland, il a rencontré un ami qui était devenu agent des pêches au ministère des Pêches et Océans. Ce dernier lui a suggéré qu’il serait une bonne acquisition pour le ministère.

« Il y a 15 ans de cela et je suis agent des pêches depuis ce temps-là à Charlottetown, à l’Î.-P.-É., de dire M. McInnis. Durant les 14 premières années, j’étais sur le terrain, à faire appliquer la loi, mais depuis la dernière année, j’exerce un rôle différent. Je travaille toujours en conservation et en protection, mais j’occupe plus de fonctions administratives pour le programme d’application et de surveillance aérienne des pêches. »

Dans le cadre de son travail au sein de la Fédération de la faune de l’Î.-P.-É., M. McInnis a participé au cours des années à l’organisation de diverses activités de financement qui l’ont mis en contact avec Chris Mills, alors membre du conseil de la FCSA.

« Il savait que j’avais participé aux activités concernant les bassins versants et le saumon, et que j’avais un intérêt personnel comme pêcheur à ligne. Son mandat au conseil de la FCA se terminait alors, il m’a demandé si je serais intéressé à le remplacer, et voilà comment je suis arrivé à la FCSA en 2016. »

Au sein de la FCSA, le rôle de M. McInnis était lié au processus de demande de subvention – participer à l’évaluation des demandes et donner ses commentaires sur les propositions. Possédant une longue expérience des opérations des bassins versants et des pêches, il est toujours prêt à faire connaître sa perspective lorsque cela peut aider les requérants.

« Il est gratifiant de faire partie d’un groupe qui est chargé de s’assurer que les fonds sont attribués à des causes valables qui amélioreront vraiment la situation du saumon atlantique. »

McInnis est très fier de son travail auprès de la FCSA; il fait remarquer l’importance cruciale du financement et indique que de nombreux travaux importants ne seraient pas possibles sans ce financement. Les bénévoles et les organismes sans but lucratif qui soumettent des propositions à la FCSA sont les seuls qui mènent à bien ces travaux qui permettent aux utilisateurs récréatifs de mieux profiter des bassins versants.

« C’est comme un cycle –– une participation soutenue des groupes d’utilisateurs récréatifs assure une meilleure surveillance des systèmes, et ces utilisateurs peuvent sonner l’alarme s’ils constatent des choses qui semblent anormales. Cet avertissement peut donner lieu à l’exécution de travaux supplémentaires par les groupes de bassins versants, ce qui mène à des demandes de financement à des organismes comme la FCSA. »

« C’est un élément essentiel qui maintient la santé de ces systèmes, » ajoute-t-il.Nous sommes heureux de vous présenter Ottis McInnis, membre du Comité consultatif de l’Île-du-Prince-Édouard.

Ottis McInnis s’est toujours intéressé au plein air, à la faune et à la pêche. Il a ça dans le sang, comme on dirait – ses parents ont aussi travaillé en pêches commerciales et en aquaculture à l’Île-du-Prince-Édouard.

C’est en occupant un emploi d’été pour le programme des bassins versants de l’Î.-P.-É. que M. McInnis a pris connaissance des travaux effectués par la succursale de Queens-Centre de la Fédération de la faune de l’Î.-P.-É., organisme pour lequel il a  commencé à travailler. Après avoir obtenu son diplôme en technologie de gestion des ressources au Collège Holland, il a rencontré un ami qui était devenu agent des pêches au ministère des Pêches et Océans. Ce dernier lui a suggéré qu’il serait une bonne acquisition pour le ministère.

« Il y a 15 ans de cela et je suis agent des pêches depuis ce temps-là à Charlottetown, à l’Î.-P.-É., de dire M. McInnis. Durant les 14 premières années, j’étais sur le terrain, à faire appliquer la loi, mais depuis la dernière année, j’exerce un rôle différent. Je travaille toujours en conservation et en protection, mais j’occupe plus de fonctions administratives pour le programme d’application et de surveillance aérienne des pêches. »

Dans le cadre de son travail au sein de la Fédération de la faune de l’Î.-P.-É., M. McInnis a participé au cours des années à l’organisation de diverses activités de financement qui l’ont mis en contact avec Chris Mills, alors membre du conseil de la FCSA.

« Il savait que j’avais participé aux activités concernant les bassins versants et le saumon, et que j’avais un intérêt personnel comme pêcheur à ligne. Son mandat au conseil de la FCA se terminait alors, il m’a demandé si je serais intéressé à le remplacer, et voilà comment je suis arrivé à la FCSA en 2016. »

Au sein de la FCSA, le rôle de M. McInnis était lié au processus de demande de subvention – participer à l’évaluation des demandes et donner ses commentaires sur les propositions. Possédant une longue expérience des opérations des bassins versants et des pêches, il est toujours prêt à faire connaître sa perspective lorsque cela peut aider les requérants.

« Il est gratifiant de faire partie d’un groupe qui est chargé de s’assurer que les fonds sont attribués à des causes valables qui amélioreront vraiment la situation du saumon atlantique. »

McInnis est très fier de son travail auprès de la FCSA; il fait remarquer l’importance cruciale du financement et indique que de nombreux travaux importants ne seraient pas possibles sans ce financement. Les bénévoles et les organismes sans but lucratif qui soumettent des propositions à la FCSA sont les seuls qui mènent à bien ces travaux qui permettent aux utilisateurs récréatifs de mieux profiter des bassins versants.

« C’est comme un cycle –– une participation soutenue des groupes d’utilisateurs récréatifs assure une meilleure surveillance des systèmes, et ces utilisateurs peuvent sonner l’alarme s’ils constatent des choses qui semblent anormales. Cet avertissement peut donner lieu à l’exécution de travaux supplémentaires par les groupes de bassins versants, ce qui mène à des demandes de financement à des organismes comme la FCSA. »

« C’est un élément essentiel qui maintient la santé de ces systèmes, » ajoute-t-il.