Bulletin du novembre 2017

novembre 16, 2017

Lorsque vous lirez ce message, l’esprit des fêtes sera sans doute bien présent chez vous. Peut-être prenez-vous déjà des résolutions pour contribuer à l’amélioration de la conservation du saumon. Je suis aussi persuadé que vous pensez déjà aux occasions de pêche à la ligne, avec des retours de saumon améliorés par rapport à 2017. Je partage vos souhaits!

En envisageant 2018, soit comme groupes de conservation ou comme particuliers, j’estime que nous devons penser aux transformations qui s’imposent dans notre domaine de prédilection pour améliorer la conservation du saumon sauvage de l’Atlantique. Face aux retours de saumon plus faibles, nous devons concentrer nos efforts sur ce qui fonctionne, et être conscients de ce qui ne fonctionne pas, pour améliorer la conservation. Nous voulons attribuer le financement aux secteurs où les résultats seront positifs pour les populations de saumon au Québec et dans l’ensemble du Canada atlantique. Nous ferons donc notre part afin que les fonds disponibles soient utilisés pour des mesures qui fonctionnent, et ensuite, nous tenterons d’accroître cet effort.

Dans ce bulletin de novembre, nous soulignons la contribution bénévole de Darryl Murrant, un des plus récents membres du Comité consultatif de la Nouvelle-Écosse. Comme beaucoup d’entre nous, Darryl a développé son penchant pour la conservation du saumon lorsqu’il était étudiant. Ensuite, il a entrepris une carrière au sein du ministère des Pêches de la Nouvelle-Écosse. Nous sommes ravis de pouvoir compter sur son expertise qui nous aide à attribuer le financement de façon pertinente pour la conservation du saumon dans sa province.

Dans le bulletin de ce mois, nous vous présentons le projet de recherche scientifique appliquée réalisé par Dr. Michael van Zyll de Jong, professeur au Campus Grenfell de l’Université Memorial, à Terre-Neuve. Ce projet examine les effets cumulatifs de l’emplacement des routes, des obstacles en rivière et des changements climatiques sur la persistance de la population sauvage de saumon atlantique et sur l’accessibilité d’un habitat adéquat. C’est un travail important, selon notre perspective, que nous voulons répandre au-delà des frontières de notre région, sous le thème : « ce qui fonctionne » et « ce qui ne fonctionne pas », dans nos efforts pour améliorer l’accès à l’habitat du saumon.

À l’approche de la fin de l’année, nous avons hâte d’étudier les demandes de financement de 2018 avec l’aide de nos comités consultatifs d’experts. C’est aussi avec beaucoup d’enthousiasme que nous envisageons de travailler avec nos partenaires, anciens et nouveaux. Joyeux temps des fêtes à tous!

 

Mes sincères salutations.

Le directeur général,

Stephen Chase